Artistes

 

  • Hervé Bindefeld

    Né en 1965 à Paris. J'entre à la faculté de Médecine en 1982 pour m'occuper de vivants. Je comprends que mon monde est ailleurs.
    Hv, né à 13 ans avec la passion de créer en photographie. Je me laisse déborder par Hervé car la réalité captée par l'objectif ne me comble pas, n’y trouvant pas le champ de créativité auquel j'aspirais. Des années après, lorsqu'apparaissent les outils de création numérique en photographie, je renais. Depuis 2010, je m'occupe de "soigner" les sculptures de rue, puis les inscris dans un récit. De l’image à l’imaginaire.
    Nous découvrons ensemble l'univers des expositions, salons, galeries et autre événements.

    Je propose des "photographies détournées" de sculptures de rue, œuvres d'artistes disparus de longue date.
    Esseulés, négligés, brisés, voire cassés et mal réparés, ces personnages ou animaux sculptés à partir de modèles (eux aussi disparus) sont exposés dans nos rues aux intempéries et aux ravages du temps, sans couverture.
    Je les observe, les écoute, les entends et cherche l'angle pour y répondre par un travail de prise de vue, puis de mise en scène. Procédé chargé d’affects et d’esthétisme, je m’égare entre le vivant et le virtuel, le passé et l’avenir, le fini et l’infini, l’achevé et l’inachevé, et finis par signer mon travail d’un « Hv ».

    Site internet : www.hvphotographe.com
    Mail : hv@hvphotographe.com

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  • Wire

    Instagram : wire978

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  • Disco

    Instagram : disco_studio

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  • Gregos

    Instagram : gregosart

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  • Pédro BANGA

    Banga est un graffiti artiste né à Petit Canal en Guadeloupe en 1970.
    Il arrive à Paris à l’âge de 5 ans et grandi dans le 18ème arrondissement où il commence à tagger son nom sur bon nombre de murs et de métros. En 1986 il graff sa première fresque sur la palissade du Louvre.
    Dés 1989 donne des cours de graff à la fac Paris VIII de St Denis et à l’université de NYC à Manhattan. Il crée l’association BASALT avec laquelle il enchaîne des collaborations dont VOLKSWAGEN, MICROSOFT, CANAL +, SNECMA et AGNES B.
    Banga est l’un des rare graffiti artiste à maîtriser l’aerographe et le jet aiguille, son perfectionnisme le pousse à explorer d’autre support. Son imagination lui permet d’improviser différentes thématiques grâce sa sensibilité personnelle.

    Site internet : bangastyle.fr
    Mail : bangastyle4@yahoo.fr
    Instagram : @bangastyleparis
    FaceBook : Pédro Banga

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  • Lécot

    Né en 1979, Lécot vit et travaille actuellement à Paris. Juriste de formation, l’artiste se consacre aujourd’hui pleinement à la pratique de la peinture et de l’écriture, et s'illustre notamment dans la peinture abstraite. Le traitement de la surface et surtout de la matière est une part très importante de son travail. Selon Lécot, les couches de peintures représentent des âges de la vie, la surface de la toile est une peau.
L'atmosphère de ses tableaux, plutôt mystérieux et énigmatiques, enveloppe entièrement le spectateur. C'est une peinture qui ne laisse pas indifférent, notamment par la force et la gestuelle qui s'en dégage. L'inspiration lui vient sans doute de ses nombreux voyages : du Vietnam au Burkina Faso.

    www.hlecot.com
    www.instagram.com/hlecot
    www.facebook.com/h.lecot

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  • POL CHAGASSE

    POL CHAGASSE - peintre
    Tél : 0681830313
    Courriel : polchagasse@gmail.com

    Artiste autodidacte, il se lance dans la peinture en 2016 avec un style bien à lui, composé d’écriture superposées sur fond de couleurs vives. Il ne cesse ensuite de parfaire sa technique tant dans le fond que sur la forme, en travaillant sur des portraits, mariant les techniques, du pinceau au couteau puis au marker, utilisant différentes matières, encres de chine, encres acrylique, peinture acrylique, encres pastels mais également en superposant des résines époxy, ravivant ainsi les couleurs et rehaussant les tons , donnant un rendu brillant et glacé .
    Il entame ensuite une série de tableaux, utilisant des feuilles de métaux précieux, argent et or, noyées dans les couches de résine, apportant un effet sculpture à ses tableaux.

    « Je ne suis pas égocentrique, au travers de mon travail, ma peinture, je cherche simplement à traduire une émotion basée sur les couleurs éclatantes et vives, les écritures n’étant qu'un style qui m'est propre et me différencie ».
    POL CHAGASSE

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  • Pour ce Summer Break 2016, un invité spécial : Shuck One

    Shuck One est un Street-artist reconnu internationalement dans son mouvement artistique pionnier du street art parisien, son nom est alors omniprésent sur les lignes 2, 9 et 13, des lignes stratégiques du métro parisien, qui lui valent rapidement le titre de king of subway mais ouvrent aussi bientôt à la découverte d’un univers artistique plus vaste et plus personnel. En 1990, il fonde Basalt, collectif de graffeurs parisiens dont la puissance créative et le dynamisme marquent la décennie en France et a l'étranger. Au début des années 90, sans renoncer au mur, Shuck one commence à privilégier la toile. Les contours de ses lettrages tendent alors à se fissurer et à se dissoudre au profit du développement d’une peinture profondément singulière. enfin offerte à la pérennité de la toile, ses œuvres entrent très vite dans les collections publiques et privées, dont une œuvre majeure, acquise par le "FONDS NATIONAL D'ART CONTEMPORAIN" en 2007.
    la peinture de shuck One explore d'autres supports que l'espace urbain, tout en mettant l'individualité au centre de son geste technique, grâce a son parcours et reste phase avec les maux de notre société contemporaine.
    beaucoup de marques célèbres, ont fait appel a son talent comme : Kenzo, Nike, Wolkswagen, Orangina, Wilson, Adidas...

    www.shuckone.com

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  • Anton JANE

    «Fuck you». Une réponse directe à notre dépendance.
    Au digital sous toutes ses formes : Mobiles, web, applis, réseaux sociaux…
    Un parti pris graphique : détourner des symboles et les signes quotidiens du digital, les agrandir outrageusement pour signifier leur pouvoir insidieux et redoutable. Car finalement, nous en sommes tous devenus esclaves.
    Quant aux mots, ils sont détournés de leur sens originel. Une manière de mettre en exergue leur non-sens ou leur contre-sens.
    Comme une révélation de notre addiction.

    www.antonjane.com

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  • David DAOUD

    Daoud : du son dans la lumière…

    Cet artiste français d’origine libanaise maintes fois récompensé comme en 2011, lorsqu’il reçoit le 1er prix Frédéric de Carfort de la fondation de France pour la peinture, sait éveiller tous nos sens grâce à ses immenses toiles semi-abstraites. Sa peinture évoque des odeurs et des bruits. Elle nous fait voyager, stimule notre imagination et réveille en nous nos souvenirs d’enfance.

    Chaque œuvre est composée à la manière d’une scène de théâtre et nous raconte une histoire…

    Perceptions temporelles
    Daoud aime arrêter le temps pour permettre au spectateur d’être hors de celui-ci et de ressentir une impression de « déjà-vu ». En effet, l’artiste est un nostalgique. Il cherche à retrouver sur la toile les bruits et les odeurs de son enfance et à les faire connaître à celui qui regarde ses ombres, ses lumières, ses couleurs,…

    Né au Moyen-Orient, il se nourrit des émotions et des voyages de son enfance. David Daoud réalise un travail de mémoire tout en laissant son imagination prendre possession de ses pinceaux.

    Chaque peinture raconte le début d’une histoire et c’est au spectateur d’en imaginer la suite.

    Une peinture sacrée
    Il y a quelque-chose de mystique dans le travail de Daoud. On y retrouve toujours sa vision et son amour de la nature et de l’être humain.

    Ce conteur aime particulièrement la couleur Or, c'est ce qui rend le sacré dans ses tableaux et illumine ses ombres, pour donner à ses compositions une lumière salvatrice.

    Les personnages ne possèdent pas de traits définis, permettant au spectateur de laisser libre cours à son imagination et de se retrouver dans ces figures qui pourraient finalement être chacun d’entre nous.

    Daoud, artiste prometteur, élève de Charles Auffret qui a lui-même collaboré avec les élèves de Rodin, à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Paris a déjà peint plus de 2000 œuvres pleines de sensibilité, de nostalgie mais surtout de lumière. Si Daoud peint en musique, c’est pour mieux transformer ses coups de pinceaux en notes et en silences…

    Ce grand artiste expose dans de nombreuses galeries à Paris et à l étranger ainsi qu’en permanence à la Davids Gallery : 22 rue haute, 14600 Honfleur – tél. 0650886146 – david.daoud.dl@gmail.com.

    En savoir plus sur les sites www.daoudpeintre.com et www.davidsgallery.fr

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  • Delphine LEGRAND

    Artiste pluri médias, Delphine utilise avec singularité, matériaux, textures, matières et couleurs.
    Afin de décliner son univers à la fois graphique et conceptuel.
    Son monde est celui d un spectateur qui découvre les villes.....selon différents points de vues.
    Le thème de cette expo s'intitule "Brick Art" qui est le fruit d'imbrication des voyages.
    Étant d origine de Lille, la brique est un matériau présent dans sa mémoire, en tant qu Architecte plusieurs bâtiments l'ont impressionné :
    - Renzo Piano : avec la terre cuite fixés mécaniquement a la verticale.
    - Gaudi : maison Pedrera avec ses voûtes en briques.
    - Corbusier : Maison Jaoul a Neuilly.

    La brique est pour moi le fil rouge de mes voyages : New York, Barcelone, Londres, Paris
    Que j'utilise par la couleur ou par la texture.
    J'essaye de les faire fonctionner comme des collages.
    de.legrand@yahoo.fr.

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  • Jacques GIAUME

    Sans état d’âme.
    Des âmes échouées dans la comédie des défilés de mode, des âmes errantes, cannibales.
    Des âmes sans visage.
    Jacques GIAUME fige ces âmes, arrêtant le temps virevoltant d’un microcosme singulier et futile.
    Le temps, l’instant, la fugacité d’un spectacle subtil et inutile.
    Des âmes sans visage.

    www.jacquesgiaume.com

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  • Jean-François LAURENT - sculpteur

    38 rue du centre- LEZEY 57630
    Tél 03 87 86 72 29
    Courriel : jean-nicole.laurent@orange.fr

      Artiste autodidacte, il commence à travailler le bois, la pierre, et la céramique dans les années 70, pour s'orienter ensuite vers le bronze.
      Installé à Lezey, petit village du Saulnois, c'est en 1989 qu'il décide de monter sa propre fonderie. Ces sculptures sont coulées d'après la technique de la cire perdue (technique ancestrale). Il maîtrise toutes les étapes utiles à la réalisation de ses œuvres : du modelage à la fonte, en finalisant par la patine qu'il considère comme un vêtement qui habille ses sculptures.
      Il développe une sculpture personnelle fortement empreinte de sa sensibilité humaniste. Sa source d'inspiration est fondamentalement l'homme.
      De nombreuses expositions jalonnent son parcours artistique, en France et à l'étranger.

    « Par la sculpture, j'essaie de traduire l'émotion procurée par une attitude corporelle ou un mouvement.
    Garder l'essentiel, ou plutôt les essentiels qui, fondus entre eux, finissent par me donner l'enveloppe finale de la sculpture et le début d'une nouvelle émotion. »

    JF LAURENT

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  • Juliette MOGENET

    Le travail de Juliette Mogenet se lit comme un développement dans le temps d'une même pensée sur l'espace, lequel apparaît par bribes pour mieux se défaire. Dans le prolongement d'études universitaires en sociologie, sa recherche plastique développe un questionnement sur la pluralité et l'instabilité des représentations du réel. On y perçoit des espaces ouverts à tous les vents, des portes qui n'en sont pas, des sols en damier qui mènent au vide.

    www.galeriederoussan.com

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  • Maxime TOURATIER

    Maxime TOURATIER explore le quotidien déserté, les lumières sombres, les contrastes et les creux des villes ; de l’ombre surgit la re-connaissance,
    Celle qui amène la lumière.
    « Laurent QUENEHEN»

    www.maxtouratier.zz.mu

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  • Monique MAILLON-BUSSIERE

    Largement reconnue sur le plan international, Monique Maillon-Bussiere, instaure un dialogue entre abstraction et calligraphie.
    Un geste impérial, un rouge unique, un travail précieux qui lui ressemble. Si nous avons la chance de l’approcher au milieu de ses toiles monumentales, illustrant à merveille les règles de Kandinsky, nous sommes frappés par son humilité, sa finesse et son intelligence. L’écouter parler de sa peinture reste un instant privilégié.
    moniquemaillonbussiere@yahoo.fr

    Carole ANDRE, Critique d’Art

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  • Ramzi SAIBI

    Artiste franco-tunisien, Ramzi Saibi est l’auteur d’une calligraphie arabe contemporaine à l’image de sa double culture, marquée par de multiples influences et qui, habilement, s’inspire de la tradition pour tendre vers la nouveauté.
    Avec une touche très moderne et urbaine, l’artiste forge et sculpte des formes et des symboles qui interprètent des mots. Est-ce un hasard si en arabe, la racine du prénom « Ramzi » signifie « symbole » ?

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  • Serge GUARNIERI

    Ma création artistique s'inspire du vivant .
    La nature, qu'elle soit d'origine végétale, animale, minérale est très riche en diversité; les formes sont multiples et semblent infinies.
    L'espace, le cosmos, le ciel, la terre, l'eau, la création de l'univers dans son ensemble depuis le big-bang tout me fascine... les formes primaires, les formes extra-terrestres mais aussi bactériennes nourrissent ma créativité...

    Serge Guarnieri

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  • Tania MOURAUD

    Tania Mouraud, artiste plasticienne né en 1942.
    Dès la fin des années soixante, le travail de Tania Mouraud s’est inscrit dans une pratique questionnant les rapports de l’art et des liens sociaux en utilisant différents médiums. Elle propose de rajouter dans nos appartements standard une chambre de méditation (1968). Elle affiche dans l’espace public son désaccord avec une société glorifiant l’avoir au dépend de l’humain (1977). Elle réfléchit sur les rapports décoratifs de l’art et de la guerre avec l’aide de l’écriture en créant des « mots de forme » (1989). A partir de 1998, elle utilise la photo, la vidéo et le son dans une forte relation à la peinture pour questionner différents aspects de l’histoire et du vivant.

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  • Thomas CANTO

    Thomas Canto, artiste plasticien.
    Né en 1979, Thomas Canto puise son inspiration dans ses souvenirs et ses rencontres avec la Ville et ses Habitants, en y insufflant son style avec minutie et rigueur. Ses gestes, tout comme les matières et outils qu’il emploie évoluent en même temps que son œuvre, et c’est par l’expérience et le temps que son travail continue de gagner en netteté. La patience et la méticulosité dont il fait preuve donnent un aspect quasi industriel à son traitement de l’architecture moderne.